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La Serpette

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Chers amis1, bonjour !

Pourquoi revenir sur cette oeuvre majeure : La Serpette ?

Eh bien tout d'abord parce qu'on ne voit rien de bien intéressant dans l'actualité de ce début d'année 2019. Tout au moins, rien qui ne soit déjà traité par tous les médias existants, de Picsou Magazine au Monde Diplomatique. Le déréglement climatique, les Gilets Jaunes, les gags désopilants du Président des États-Unis d'Amérique, les périlleux exercices d'équilibristes du gouvernement... bref, tous les sujets ont été abordés, développés, décortiqués par des experts, analysés, expliqués par le menu de telle sorte qu'on ne peut plus rien en dire.

Passons donc aux choses sérieuses : ce qui a été volontairement tu aux populations assoifées de culture avant tout, et par exemple : Le Prix Krospenfüger 2018 !

Eh oui, nous avons reçu un courrier abondant nous demandant avec une légitime angoisse : "Mais qui a reçu, cette année, le prix Krospenfüger ?"

Pour couper court à toute rumeur, nous informons donc notre vaste public : La Serpette a reçu le "Prix Krospenfüger" 20182 pour l'opportunité d'une page 44 dans l'oeuvre.


1. Après enquête, il s'est avéré qu'au moins deux personnes suivraient ce blog, ce qui nous autorise à employer le pluriel.
2. Ce prix a été décerné par le jury avec une étonnante et indiscutable unanimité de 3 voix pour et une abstention.

Courrier de lecteur - Gérard Devis

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Gérard Devis, gentil lecteur de la Serpette, nous adresse un courrier que nous nous empressons de reproduire.


Cher Monsieur,

Tout d'abord, je vous adresse un grand merci pour m'avoir communiqué votre adresse Email, ce qui me permet de vous envoyer ce message personnel.

Je viens de lire, avec beaucoup d’intérêt et un très grand plaisir, votre livre « La Serpette » que ma fille Natacha m’a offert, avec quelques autres douceurs périgourdines, il y a quelques semaines pour mon anniversaire, et que vous aviez fort aimablement dédicacé.

Cette serpette est un vrai petit bijou qui, à l’évidence, n’a pas été écrit par des manches. Partant de René Andertal (cousin bien connu de l’homme de Camembertal) jusqu’au drame survenu dans le château d’Escoire durant la nuit du 24 au 25 octobre 1941, en passant par Monseigneur Dezanno et le Prince Senryre, votre livre confirme bien que si l’espoir fait vivre, Escoire fait parfois mourir.

Outre le texte plein d’humour et votre agréable dédicace, j’ai beaucoup apprécié qu’après la traditionnelle et légendaire page 44 qu’on retrouve inévitablement dans toutes les grandes œuvres littéraires, vous ayez pris le soin de terminer la pagination de votre histoire de la serpette d’Escoire à travers les âges, par une page 45 ; j’y vois, bien évidemment, une façon particulièrement élégante et discrète de rendre hommage à ceux qui ont fêté leurs 73 ans en 2018 !

J’espère avoir bientôt le plaisir de lire de nouvelles aventures qu’en totale complicité avec Marc BALLAND et Michel LOISEAU, vous aurez écrites avec vos belles plumes. Celles-ci sont, à l’évidence, des outils largement aussi efficaces que la serpette puisque, en vous lisant, on peut mourir de rire... et, personnellement, je préfère de beaucoup l’encre bleue qui s’écoule de vos plumes et fait marrer (ne pas confondre avec l’ancre marine) au sang qui coule sous le tranchant des serpes et qui, lui, fait pleurer !

Bien cordialement,

Gérard DEVIS (alias Papy Seu Seu)

Attention : changement d'heure !

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Cette information, aussitôt suivie d’une autre : « Les risques d’accident sont accrus étant donné que la nuit va venir plus vite : piétons, cyclistes, automobilistes, soyez vigilants ! », m’a interpellé.
Dans l’urgence, et donc ex abrupto autant qu’inopinément, j’interviens pour tenter de sauver des vies mises en danger par cette inéluctable obligation.
Comment réagir au changement d’heure ? Une angoisse perceptible est ressentie par toute la population.
La nuit va tomber plus vite, sans crier gare, et ceux qui se seront laissé surprendre seront en proie aux pires dangers : ne pas être vus par des concitoyens mieux protégés.
Le plus fragile reste le piéton. Ne disposant d’aucune carapace naturelle ni d’aucun moyen anthropique spontané, genre fluorescence, pour se signaler, il devient une proie facile pour le cycliste, qui lui même connaît alors un prédateur redoutable, l’automobiliste.
Dès lors, le piéton devra redoubler de vigilance et s’abstenir de se trouver en terrain découvert lorsque la nuit va tomber. Le mieux sera de se mettre à l’abri juste avant, ou de prier le ciel pour qu’elle tombe le plus loin possible.
Mais, ce ne sera pas toujours possible !
Il faut qu’on légifère intelligemment sur la question, c’est-à-dire, par exemple, qu’on décide de décaler carrément de 12 heures, et de permettre ainsi qu’il puisse faire jour la nuit afin de protéger ceux qui sont obligés de circuler aux moments dangereux ! Cela semble pourtant une solution évidente, et qui aurait l’agrément de tous ceux qui se plaignent qu’il ne fait pas jour assez tard pour profiter des belles nuits d’été.
Restera le problème des feux d’artifice, mais nous y reviendrons en temps utiles.
On pourrait aussi envisager d’obliger les automobilistes à avancer leurs montres d’une heure par rapport aux piétons. En l’occurrence, il suffirait qu’ils laissent leurs tocantes à l’heure d’été, tandis que les piétons reculeraient la leur de soixante minutes pour satisfaire aux exigences légales du moment.
Pour les cyclistes, on pourrait aménager cette disposition en réduisant l’écart d’une demi-heure.
Mais, me direz-vous, lorsque l’automobiliste descend de voiture, il redevient piéton !?
Qu’à cela ne tienne, il devra avoir une montre à chaque poignet, et consulter le poignet droit ou gauche, selon qu’il est à pied ou en voiture. Cela paraît assez simple, et permettrait d’éviter tous les accidents qu’on nous promet suite à cette incontournable disposition.
Bon, si vous n’avez pas le temps d’assurer correctement votre protection, il vous est conseillé de rester chez vous en lisant Le Palmier, par exemple, ce qui vous évitera de vous retrouver à l’hôpital ou au cimetière. On ne pourra pas dire qu’on ne vous avait pas prévenu !
Bonne chance quand même...

Le Président vous parle...

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Notre bon Président, qui a l’oeil à tout, et que nous appelons par respect "Parrain", a constaté que certaines personnes, dont nous tairons pour l’instant les noms, n’ont toujours pas « Le Palmier » !
Pareille situation n’est pas tolérable dans un pays comme le nôtre, où la culture occupe dans l’esprit de chaque citoyen, une place de choix.
Notre bon Président a décidé de se montrer magnanime, et de différer les sanctions à l’encontre des étourdis qui auraient omis de se procurer cet ouvrage de référence.
Pour l’instant, et pour l’instant seulement, le prix du « Palmier » ne sera pas majoré des intérêts de retard que l’éditeur, hahaha-éditions, serait en droit de réclamer. Il reste miraculeusement fixé à 12 €. Cette somme dérisoire comprend toutes les taxes possibles et imaginables, y compris la part d'impôt sur la fortune que notre bon Président est obligé de payer vu le succès commercial du chef-d'oeuvre en question.
Afin de ne pas vous exposer à de graves sanctions, nous vous engageons à commander au plus tôt votre « Palmier ». Votre nom sera alors rayé des listes noires de notre bon Président, et vous pourrez dormir tranquilles, votre « Palmier » sur la table de chevet. (en cas de contrôle inopiné).

C'est un conseil amical que nous vous conseillons de suivre.
Dans le cas contraire, suivez son regard...

Poisson d'avril

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AVRIL : C’est le mois du poisson.
Nous en profiterons donc pour honorer la mémoire de Jeanne-Antoinette Poisson,
marquise de Pompadour, et duchesse de Menars, ravie à l’affection des siens le 15 avril 1764.
Mais, nous direz-vous, le 15 avril, c’est le signe du Bélier, pas des Poissons ! Ah...
Et nous répondons : bien sûr, d’autant que la marquise, née un 29 décembre, était Capricorne !
Il n’empêche qu’un poisson est toujours d’avril.
Avez-vous déjà entendu quelqu’un s’écrier « poisson de mars ! » ou « poisson de décembre ! » ?
Non, évidemment.

 

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Prix Krospenfüger - Le film !

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Amis du palmier, bonjour !

Le prix Krospenfüger, expliqué ci-dessous, a été décerné à l'ouvrage "Le Palmier". (Voir aussi là)

Cet événement littéraire très attendu récompense donc, et l'on s'y attendait, le livre de Messieurs Marc Balland, Patrick François et Michel Loiseau (par ordre alphabétique, ou par ordre d'arrivée sur Terre, au choix).

Grâce aux archives de l'INA, nous vous faisons partager ce moment d'émotion intense, qu'a été la remise de ce prix.

Cliquez ici, ou recopiez ce lien dans votre navigateur (après lui avoir poliment demandé la permission, bien entendu) :

Et n'oubliez pas : 12 € seulement !! Ah, c'est vraiment pas cher, la culture de nos jours...

Cadeau promotionnel

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Avis aux philatélistes :

Les 10 prochaines commandes d'un Palmier seront expédiées, affranchies avec un timbre créé spécialement pour la circonstance ! Courez vite jusqu'à la boutique, c'est pas loin : l'onglet rouge, en haut et au milieu de votre écran, à un jet de souris. 12 € pour 120 pages, 10 cts la page de rigolade...

On se marre pour moins cher qu'aux primaires !

Qu'on se le dise, il n'y en aura pas pour tout le monde...