Salon du livre illustré 2024
Avis à la population !
Le salon du Livre illustré (ou pas) septième édition se tiendra le dimanche 26 mai et vous permettra de rencontrer une bonne trentaine d'autrices et auteurs épatantes et épatants.
Avis à la population !
Le salon du Livre illustré (ou pas) septième édition se tiendra le dimanche 26 mai et vous permettra de rencontrer une bonne trentaine d'autrices et auteurs épatantes et épatants.
En vente sur la boutique en ligne de Ha! Ha! Ha! Éditions
Monsieur Soupolé est une personne normale, le parfait quidam. Sa vie pourrait être celle à laquelle aspire tout un chacun. Une vie simple et calme, une vie qui ne connaîtrait ni l’excès ni l’inattendu, pas plus la surprise que l’imprévu. Une vie réglée comme du papier à musique, écrite et attendue, sereine et mesurée.
Pour son plus grand malheur, Monsieur Soupolé réside dans un petit appartement douillet doté de tout le confort attendu par une personne honnête. Il pourrait vivre là la vie dont il rêve mais ce petit appartement a le tort d’être équipé d’une porte palière ouvrant sur l’extérieur, sur le vaste monde. C’est là la source de tous ses soucis.
Derrière cette porte, qui sait qui peut venir le sortir de sa tranquille et inébranlable quiétude, de son impavide flegme, de son goût furieux et forcené pour la placidité la plus extrême ?
La porte est close, à double tour, et Monsieur Soupolé vaque à ses habituelles tâches quotidiennes quand quelqu’un toque ou sonne. Bonhomme, avec la peur au ventre, Monsieur Soupolé risque un œil tremblant dans l’œilleton du judas optique. Il s’en doutait, il y a quelqu’un… ou pas. Il sait qu’il ne devrait pas, que cette visite va perturber sa vie. Pourtant, il ouvre.Marc Balland, Patrick François et Michel Loiseau repartent à l'assaut de leur quête de l'absurde absolu avec un ouvrage qui marche dans les pas du Palmier mais en faisant un pas de côté. Cette fois-ci, pour compliquer encore un peu la découverte de ce monument de la littérature humoristique, les auteurs vous invitent à un jeu de piste contre la montre.
Pourquoi faire simple lorsque l'on peut faire compliqué ? A l'initiative du Sablier, il y a une idée née dans la tête (ou ailleurs, on ne sait pas) de Marc Balland de remettre au goût du jour le livre d'heures, livre liturgique destiné aux fidèles catholiques laïcs.
Mais attention ! Ici, point n'est question de bondieuseries ! D'ailleurs, du livre d'heures, seules ont été conservées les heures. Et comme l'heure, c'est le temps et que le temps qui passe peut se comptabiliser, les auteurs ont hésité entre "pendule", "montre", "clepsydre" avant de se décider pour "sablier" étant entendu qu'il allait être l'heure de passer à table et que des œufs à la coque étaient au menu.
Dans ce Sablier, vous trouverez des textes humoristiques, des nouvelles policières délirantes, des contrepéteries fascinantes, de la fiction politique et de la science fantaisiste, de la critique d'art et de l'art critique, des illustrations épatantes et des idées du même tonneau. Et comme il est dit en couverture : "si à 50 ans on n'a pas de Sablier, c'est qu'on a quand même raté sa vie".
Le Sablier est d'ores et déjà disponible pour le prix très modique de 12 euros sur la boutique en ligne, à la boutique ouverte au 40 bis de l'avenue de la IVe République à Thenon et dans plusieurs librairies de Dordogne où vous pouvez aussi le commander s'il n'est pas disponible.
Ils sont trois. Oui ! Ils ne sont que trois les auteurs de ce monument du savoir. Seulement trois intellectuels qui tiennent la dragée haute aux Immortels de l'Académie française.
Des mois durant, ils se sont réunis, ne comptant ni la peine ni les heures, œuvrant d'arrache-pied, les manches retroussées, l'œil acéré, pour rédiger cet ouvrage de référence qui représente le premier volume de la collection du grand dictionnaire des lettres de l'alphabet. La lettre qui sera finalement retenue est le "F". Pourquoi cette lettre ? Le secret nous empêche de pouvoir le préciser mais soyez-en certain, il doit y avoir une bonne raison à cet état de fait.
Marc Balland, Patrick François et Michel Loiseau montrent une fois de plus que l'intellectuel a un rôle à tenir dans notre société pourrie par le consumérisme, les sodas américains et le sandwich rillettes-cornichon. Quelle abnégation il leur aura fallu pour sacrifier tant d'heures, tant de jours, tant de mois afin de permettre à la masse ignorante tout ce qu'il convient de savoir à propos de cette lettre F ? Beaucoup !
Ce Dictionnaire haineux et marginal des F est une somme. Dans un élan de générosité qui les perdra, les auteurs, en accord avec l'éditeur, acceptent de vendre ce livre pour le prix ridicule de 6 euros. Oui ! Vous avez bien lu ! Seulement 6 euros. Vous pouvez vous précipiter toute affaire cessante sur la boutique de Ha ! Ha ! Ha! Éditions où vous pourrez, muni de votre carte bancaire, espérer accéder enfin au savoir vertigineux. Ne nous remerciez pas, nous connaissons déjà notre mérite.
Vous avez été extrêmement très assez nombreux à demander un ouvrage consacré à la lettre F.
Mais si !
Il est vrai que les dictionnaires usuels proposent toutes les lettres, de A à Z, alors que certains ne souhaitent que rechercher des informations, notamment culturelles, autour de la seule lettre F. Et c’est bien légitime quand on sait l’importance de cette consonne dans l’histoire, la littérature, les sciences, etc.
Alors, pourquoi se trimballer un lexique qui vous raconte tout un tas d’âneries sur les 25 autres lettres de l’alphabet, dont vous n’avez que faire ?
Ne nous mentons pas, comme diraient les frères Bogdanov, qui s’y connaissent en sciences ! Un dictionnaire traditionnel fait environ 2000 pages, alors que 70 environ ne concernent que le F !
Cette effarante constatation est encore renforcée par le poids de l’ouvrage ordinaire : pas moins de 2,5 kg ! Alors que ce qui concerne de façon essentielle la seule lettre importante, le F, ne pèse qu’une centaine de grammes, en comptant la couverture.
Alors ? Allez-vous continuer à vous démolir la santé à vous coltiner un glossaire pesant et lourd de conséquences pour vos vertèbres, alors que vous pourrez briller en société avec moins de 100 grammes de savoir, contenu dans cet opuscule révolutionnaire qui vous sera cédé à un prix tellement bas qu’on a honte d’en parler, même à voix basse.
Ne ratez pas la sortie très prochaine (28 avril) de cet évènement littéraire ! Un échantillon de la couverture :
Chers amis1, bonjour !
Pourquoi revenir sur cette oeuvre majeure : La Serpette ?
Eh bien tout d'abord parce qu'on ne voit rien de bien intéressant dans l'actualité de ce début d'année 2019. Tout au moins, rien qui ne soit déjà traité par tous les médias existants, de Picsou Magazine au Monde Diplomatique. Le déréglement climatique, les Gilets Jaunes, les gags désopilants du Président des États-Unis d'Amérique, les périlleux exercices d'équilibristes du gouvernement... bref, tous les sujets ont été abordés, développés, décortiqués par des experts, analysés, expliqués par le menu de telle sorte qu'on ne peut plus rien en dire.
Passons donc aux choses sérieuses : ce qui a été volontairement tu aux populations assoifées de culture avant tout, et par exemple : Le Prix Krospenfüger 2018 !
Eh oui, nous avons reçu un courrier abondant nous demandant avec une légitime angoisse : "Mais qui a reçu, cette année, le prix Krospenfüger ?"
Pour couper court à toute rumeur, nous informons donc notre vaste public : La Serpette a reçu le "Prix Krospenfüger" 20182 pour l'opportunité d'une page 44 dans l'oeuvre.
1. Après enquête, il s'est avéré qu'au moins deux personnes suivraient ce blog, ce qui nous autorise à employer le pluriel.↩
2. Ce prix a été décerné par le jury avec une étonnante et indiscutable unanimité de 3 voix pour et une abstention.↩
Nous sommes en 1941 et c'est l'automne. A Escoire, un drame va survenir dans le château de ce village paisible du Périgord Blanc. Henri Girard qui n'est pas encore l'auteur du "Salaire de la peur", Georges Arnaud, est le seul survivant d'un crime horrible effectué à coups de serpe sur son père, sa tante et la servante. Trois morts, un château fermé de l'intérieur, tous les soupçons se dirigent vers le jeune Henri Girard.
Récemment, Philippe Jaenada revient sur l'affaire dans un beau et grand livre au contenu très intéressant, "La serpe", édité par Julliard, qui a obtenu le prix Femina en 2017. C'est mérité.
De leur côté, avec un soupçon d'opportunisme, Marc Balland, Patrick François et Michel Loiseau reviennent sur l'histoire en la traitant avec humour et en s'attardant non pas sur le crime lui-même mais plutôt sur l'arme du crime et sa vie à travers les siècles.
En ce mois de juin 2020, la Serpette revient dans une seconde édition avec une dédicace de Philippe Jaenada et un DVD de l'étrange affaire d'Escoire narrée par M. Pierre Bellemare lui-même !
La vie vaut-elle d'être vécue sans humour ?
De la bonne poilade sur prescription !
Approuvé par les plus hautes instances scientifiques