Dans les pages "Dordogne" de Sud-Ouest, Hervé Chassain se fait l'écho de la cérémonie de dévoilement des plaques posées pour rendre l'hommage auquel a droit Sigmund-Marcel Krospenfüger. Conjointement avec l'Académie Alphonse Allais représentée par Jean-Pierre Delaune et en présence de Maurice Melliet du club des Hydropathes de Périgueux, d'Alain Bernard et de M. et Mme Schunck, à Paris et à Périgueux, deux plaques ont été dévoilées, une au 5 de la rue Félix Ziem dans le 18e arrondissement de Paris et une sur la place Daumesnil de Périgueux, Dordogne.
La presse locale avait été conviée à couvrir l'événement. Sud Ouest, la Dordogne Libre et l'Écho Dordogne ont répondu à l'appel et ces organes de presse sont remerciés.
Sud Ouest consacre une vidéo au canular !
Jean-Pierre Delaune et Patrick François répondent aux questions du journaliste de Sud Ouest Hervé Chassain et expliquent l'influence d'Alphonse Allais dans l'humour et son évolution depuis les tout débuts du vingtième siècle.
Patrick François profite de l'occasion pour faire la promotion du Festival consacré à l'humour qui aura lieu à Escoire.
Ce samedi 22 avril 2017 est un jour à marquer d'une pierre blanche puisque Hervé Chassain a parlé de notre maison d'édition dans le journal Sud-Ouest.
Au long de son article, le journaliste tient à montrer qu'il a bel et bien lu le Palmier et nous ne pouvons que le féliciter et lui adresser nos compliments enflammés autant que sincères. Lire le Palmier dans son entier n'est certes pas une tâche impossible, plusieurs sont ceux qui y sont parvenus, mais force est de reconnaître que ce n'est pas pour autant chose aisée. Parmi les pré-requis, bien sûr, il convient de savoir lire et, de préférence, la langue française. Savoir lire l'avenir dans la langue de bœuf sauce piquante ne vous aidera en rien dans la découverte du Palmier. Savoir lire, c'est bien, savoir rire, c'est mieux. Et Hervé Chassain (gloire lui soit rendue) l'a bien compris. Il est nécessaire d'avoir un solide sens de l'humour pour déguster le Palmier. D'ailleurs, il ne s'y trompe pas et prévient dès le titre de l'article : " Un livre rien que pour rire ". En effet, il fait bien de le préciser. Certains et certaines auraient pu acheter le Palmier (douze petits euros) pour rire et pour pleurer et alors ils en auraient été pour leurs frais, au moins pour la moitié. Nous avons réalisé une petite enquête auprès des personnes ayant lu le Palmier ou ayant œuvré à sa conception et peu nombreuses sont les personnes qui reconnaissent avoir pleuré — sinon de rire — à cause du Palmier.
Hervé Chassain explique très clairement quoique d'une manière légèrement absconse, obscure, peu précise et très approximative que le Palmier est un livre qui tient chaud. Dans son style si journalistique, il glisse en effet que le Palmier ne vaut rien pour ceux qui naviguent aux environs proches du premier degré. C'est une réalité prouvée scientifiquement que le Palmier génère une substantielle hausse des températures et, d'ailleurs, le GIEC se penche sur la question avec d'autant plus d'intérêt que, mine de rien, ces gens là aiment aussi rire un peu de temps en temps.
Le fantastique journaliste du non moins fabuleux journal précise que le Palmier est un bréviaire de la "poilade" à l'ancienne. Et quoi de meilleur que la moutarde "à l'ancienne" ? C'est la garantie de la préservation d'une tradition et une reconnaissance implicite de ce que les auteurs du Palmier s'inscrivent dans un courant de pensée engendré il y a plusieurs millénaires par les premiers pré-humains à l'origine du premier éclat de rire.